✑ Les archives du blog de FANTASY d'avril 2014 de Catherine Boullery

Les Archives du blog de #fantasy d'avril 2014
tome 3 - L'Oracle de Tennesse

La saga d'Aila  fantasy


fantasy

Note : 4.6 / 5 avec 283  critiques

Les archives du blog de fantasy d'Aila d'avril 2014

27 avrilUne surprise de taille : copies finies ! Il faut dire que, par le plus grand des hasards, je suis tombée sur une classe de 24 élèves au lieu de 35, voilà qui diminue indubitablement le temps de correction. Autant en profiter !
En conclusion, je peux me remettre à :
- réfléchir sur le projet de financement ;
- poursuivre l'écriture de mes nouvelles (plus l'une que l'autre…) ;
- travailler sur les photos du théâtre (plus de 2400, aïe aïe aïe…) et du carnaval.
Tout ça, c'est pour le plus urgent ! Mais, comme je suis incapable de rester longtemps sur une seule activité (fatigue, quand tu nous tiens…), je suis repartie dans l'exploration du tome V « La Porte des Temps » avec des fourmis dans les doigts. Je ne vous parle même pas des autres activités qui me narguent, se moquant doucement de moi… Comme d'habitude, je vais finir par me disperser et avancer un peu sur tous les fronts sans rien finaliser, grrr… Certains jours, je peux le dire, je m'agace toute seule !
Chouette, c'est dimanche. Belle journée.

25 avrilLes jours continuent de s'enfuir et, moi, comme d'habitude, je tente de les retenir. Sans succès…
Après les tergiversations rencontrées sur les projets en cours et leur changement de cap, m'y remettre m'avait vraiment semblé difficile. Je m'étais beaucoup investie, malgré les courants contraires que je pressentais et, au bout du compte, tout était à refaire donc à réinventer ! Je sais bien, comme le racontait une des belles histoires que je lisais à mes enfants : « à faire et à défaire, on n'est pas à rien faire. » N'empêche, j'apprécierais d'occuper mon temps autrement ! Pour couronner le tout, voici la tuile qui manquait à ma journée : une manipulation malheureuse et la moitié de mon travail vient d'être effacée. Malgré la petite voix mauvaise qui me souffle de renoncer, je reprends mon courage à deux mains et je replonge, mais le cœur n'y est plus…
Je sens que la fin de cette journée va arriver trop vite, comme la fin des vacances.
Belle journée pluvieuse à tous.

24 avrilNouveau commentaire sur Amazon : « une fois de plus piégée par la magie d'Aila !
Le troisième tome a été englouti à la même vitesse que les deux précédents. On se replonge à chaque lecture avec bonheur dans cet univers de force et de fragilité. Aila est passée d'enfant à femme, mais on ne veut surtout pas la quitter! Vite, la suite !
 »
Mais comment les gens savent-ils que j'aime les papillons ? Héhé… Une adorable copine a passé beaucoup de temps à en créer un, rien que pour moi, dans un entrelacs de fils métalliques rehaussé par des perles de cristal de Swarovski et de Bohême jusqu'à ses deux magnifiques antennes, et me l'offert comme le plus précieux des présents. Elle avait raison, il l'était et le restera… Merci, Cintia !

Papillon en perles
Papillon en perles

Je vous souhaite une bonne journée.

23 avrilJ'ai le droit d'être impolie ? Voilà, je suis juste énervée parce que mon cerveau fonctionne à plein rendement, que les idées jaillissent les unes après les autres m'offrant peu à peu toutes les solutions qui manquaient à la trame d'un nouveau roman que j'aimerais écrire (et qui ne débouchera que sur une courte nouvelle…), rendant l'histoire encore plus exaltante, les relations entre les personnages plus complexes et que je sais que, dans moins d'une semaine, je serai rattrapée par le quotidien et qu'une nouvelle fois tout cet univers que je suis en train de peaufiner, développer, chérir, va s'endormir d'un long sommeil parce que je ne dispose pas de la vie qu'il faudrait pour écrire… Je sais bien que le quotidien est compliqué pour beaucoup d'entre nous, mais comment les autres écrivains font-ils pour jongler entre deux métiers ? Moi, je n'y parviens pas et ce constat me désespère, car, un jour ou l'autre, il me faudra choisir définitivement entre l'un et l'autre (la charge cumulée des deux pèse de plus en plus lourd sur mes épaules) et que je suis consciente que je ne pourrai pas choisir celui qui ne me nourrira pas. Un choix reste un choix, même s'il est par défaut, même s'il vous brise le cœur…
Je vous souhaite une bonne journée.

21 avrilJoyeux lundi de Pâques ! La grisaille matinale devrait céder rapidement la place à de belles éclaircies dès le début d'après-midi. Maintenant que je vous ai rassurés sur la météo, vous pouvez passer une belle journée en famille peut-être, un peu de chocolat à portée de main pour satisfaire votre gourmandise.
J'ai terminé le premier jet de ma nouvelle à une exception près : la description de mon esprit Drag'On… Ce n'est pas tant la conception de la bestiole qui pèche, mais plutôt le vocabulaire adapté qui me manque. Quand j'y songe, les dragons ne m'ont jamais vraiment fasciné jusqu'à ce que je m'éclate en regardant le dessin animé de Dreamworks du même nom. Cette relation nouvelle entre cet animal légendaire et les hommes qui les craignaient depuis le début des temps m'a totalement envoûtée et cette phrase d'Harold en est le plus caractéristique témoignage : « Tout ce qu'on croyait savoir sur vous, c'est faux. » En recherchant de lien sur le premier, je suis tombée sur la bande-annonce d'un deuxième volet qui sort le deux juillet prochain, je suis trop contente ! Bon, d'accord, ils ne se sont pas vraiment foulés pour le titre : « Dragons 2 », mais s'il est aussi bien que le premier, ça va être génial ! Vous voulez en savoir plus, deuxième trailer qui me donne encore plus envie !
Pour en revenir à mon sujet initial… Quelle idée, me direz-vous, de me lancer dans une nouvelle qui parle de ces créatures légendaires ? Pour la bonne raison que j'en ignore presque tout et que cette absence de connaissances m'offre une liberté totale pour les imaginer tels que j'en ai envie, sans me conformer à un modèle préétabli. Il n'y a que les termes correspondants à leur anatomie que je souhaite conserver et que, pour l'instant, je n'ai pas dégotés en totalité. Je dois donc poursuivre mes recherches à ce sujet, mais les sites sur lesquels je surfe parlent plus de leur caractère. D'ailleurs, si vous savez comment s'appellent les espèces de trucs hérissés qui s'écartent vers l'arrière de la mâchoire, c'est le moment de partager votre culture sur les dragons avec moi !
Belle journée à tous.

19 avril Comme promis, quelques photos de papillons

Grand Paon de nuit
Grand Paon de nuit

Le Tircis
Le Tircis

L'Aurore
L'Aurore

Le Moro-sphinx
Le Moro-sphinx

Le Citron de Provence
Le Citron de Provence

Le Grand Porte-queue
Le Grand Porte-queue

Belle journée.

18 avril Glup… Le blog est parti en vacances sans vous prévenir ! Il faut dire qu'il a été bien occupé jusqu'au départ et encore plus après à profiter d'un temps estival au cœur du printemps. Chaleur, soleil et ciel bleu, un vrai bonheur quand je me souviens de la grisaille du printemps de l'an passé ! Je vous ai rapporté de beaux souvenirs sous la forme de quelques photos :

Lac du Causse
Lac du Causse

Carennac sur un bras de la Dordogne
Carennac sur un bras de la Dordogne

Arbre à chatons blancs
Arbre à chatons blancs

Jeu de lumière sur une tour de la Défense
Jeu de lumière sur une tour de la Défense

Et vous savez quoi ? Pour changer, j'ai photographié des papillons, dont un magnifique Grand Paon de nuit que mon beau-frère a trouvé à l'entrée d'un centre commercial et que nous avons remis dans la nature après une séance photo, en espérant qu'il parviendrait à repartir. Surprise le lendemain, il n'était plus là ! Tant mieux ! Pour les découvrir, ce sera demain.
Je suis heureuse d'avoir avancé une des nouvelles sur lesquelles je travaille. Je me rapproche de la fin, mais la plus importante, elle, reste encore inachevée. Allez, j'ai encore une semaine devant. Entre quelques paquets de copies, ça devrait le faire, non ?
Agréable week-end à tous !

13 avril Réflexion d'hier que j'ai oublié de partager avec vous : « Quand votre vie ressemble de plus en plus à un roman, c'est que, peut-être, vous perdez un peu plus chaque jour le sens des réalités… » Puis une autre que j'ai répondue à une amie que je n'ai pas vue depuis longtemps et qui me disait en riant que nous allions comparer nos rides : « Quelles rides ? Celles de nos expériences passées ou présentes ? Celles qui prouvent toutes les épreuves que nous sommes parvenues à surmonter ? Celles qu'efface le regard de ceux qui nous aiment, car, qu'importe les années, seuls comptent cette énergie qui vibre en nous et son inaltérable rayonnement, caractéristique d'une lumière immortelle… »
Vous partez faire des photos du théâtre pour des amis et vous revenez avec un cadeau inattendu. Accueillie à mon arrivée par une collègue, cette dernière s'est approchée de moi en disant : « Dans la salle, tu vas avoir une de tes fans. Ma mère vient voir le spectacle et je lui ai dit que tu venais aussi et que je te présenterai à elle. » Effectivement, à la fin de la représentation, j'ai parlé quelques instants avec une dame fort gentille, presque émue et totalement enthousiaste. Comment dire… je crois que j'étais autant touchée par sa ferveur qu'elle de me rencontrer. Quand je suis revenue le lendemain, mon adorable collègue est revenue vers moi pour me dire à quel point sa mère avait été émue de me parler au point de dire à sa fille que c'était la première fois qu'elle discutait avec l'auteur d'un livre qu'elle connaissait. Cette histoire renforce ma conviction que la vie devient encore plus belle quand se multiplient dans son sillage des moments hors du temps tels que celui-ci, une rencontre, une émotion, des regards qui partagent dans le silence plus que des mots, des sensations inoubliables…
Autre constat qui me rassure : ma saga est vraiment intergénérationnelle, appréciée par la mère et par la fille !
Soleil ne me quitte pas ! J'ai besoin de ta chaleur sur ma peau pour renaître après l'hiver, de ta lumière pour me remettre à rayonner, de ton énergie pour être capable de faire face à toutes mes obligations !
Bon dimanche.

12 avril Pour commencer, le gentil cinéaste du tournage de la vidéo sur la communauté d'Aila a lancé un projet dont j'ai oublié de vous parler, engagée comme je l'étais cette semaine dans d'autres obligations ! Je vous invite à regarder sa réalisation, un fan-film de Harry Potter que je trouve vraiment chouette : Warren Flamel : La Malédiction de l'Immortalité - Épisode 1 [HD]. Leur projet de financement sur Ulule pour le tournage de l'épisode II vient de se terminer avec une belle réussite (119 % du montant escompté), venez en découvrir plus sur la plateforme de financement. J'ai raté le bon moment, mais, pour l'épisode III, je m'y prendrai plus tôt !
Une drôle de semaine qui se termine entre tristesse, voire détresse et enchantement ! De quoi me laisser un peu perplexe, légèrement perdue, mais aussi emplie par un sentiment étrange de bien-être dont je ne sais comment il a pu éclore sur des cendres encore chaudes…
Bien sûr, en moi, existe le prof. C'est mon premier métier, celui que j'ai choisi avec conviction pour répondre au désir qui était le mien de partager des connaissances, de donner envie d'en savoir plus. Parfois, il me passe dans la tête des idées bizarres, comme celles de réapprendre ce que j'ai oublié ou de découvrir ce que je n'ai jamais su. Mais bon, le constat est simple, les journées n'ont que 24 heures et elles sont bien trop courtes pour que je parvienne à y caser tout ce que je souhaiterais ! Surtout que j'en passe une partie à dormir.
Bien sûr, en moi s'est développée l'écrivaine. Elle a vécu cachée dans l'ombre de mon esprit, attendant son heure pour s'exprimer pleinement… Mes idées bouillonnent. Au cœur de cette semaine nuancée, j'ai l'impression d'avoir ravivé une flamme, celle que mon activité principale éteint bien trop souvent, mais qui n'attend qu'une étincelle pour reprendre. L'écriture est mienne à travers les rêves éveillés de mon âme, je lui dois l'intensité et la chaleur de ma vie.
Et je suis aussi photographe ! Ainsi, j'ai occupé trois de mes soirées à photographier le spectacle de la troupe théâtrale de mon lycée, à me laisser envahir par une pièce magnifique dans lequel le théâtre parle de lui-même, fondant sous le charme d'un personnage fantasque, incontrôlable pour lequel la réalité s'était totalement effacée derrière le jeu de l'acteur permanent. J'ai adoré « Le théâtre ambulant de Chopalovitch » de Lioubomir Simovitch, tant par le regard de la photographe sur le jeu des acteurs que par l'écoute attentive de ce texte riche dans lequel les mots rebondissent d'un personnage à l'autre. Voici une de mes tirades préférées, celle de Monsieur Philippe Ternavatz :

« Je me dresserai,
opprimé, brisé, terrassé,
avec mon épée en bois
contre les armées d’acier.

Sur mon épée en bois,
aux enfants désolés,
aux mères éplorées,
j'apporterai la liberté.

Sur mon cheval de bois
j’envahirai la Bourgogne,
l’Angleterre et la Pologne,
avec mon épée en bois.

Je montrerai à toute la terre
le tronc noir en fer,
l’enclume tranchée
avec mon épée.

À travers les obscures nations
qui dans leurs chaînes aboient
je combattrai le dragon
avec mon épée en bois.

Je partirai vers le nuage
qui comme l’acier rougeoie,
pour transpercer le dragon
avec mon épée en bois.

J’emmènerai des nuées
dans l’écume et la brise
par mon épée en bois
la jeune fille conquise.

Porté par les larmes
les sanglots et les voix,
je volerai dans les flammes avec mon épée en bois. »

C'est ainsi, elle me fait rêver… Vous pouvez consulter le manuscrit, en cliquant sur le .doc titré : « PREMIÈRE PARTIE TABLEAU I L'ARREST… »
Bon week-end à tous.

9 avrilBeaucoup d'occupations ces derniers jours que je vous raconterai bientôt, mais je souhaitais avant tout partager avec vous un sujet de réflexion : quelle est le véritable rôle des médias ?
Mes élèves de première S m'ont accueillie mardi en me disant : « Madame, vous avez vu le reportage de France 3 sur notre lycée ? Franchement, c'était nul… » Comment ne pas détecter dans leur propos la tristesse, la désillusion voire un soupçon de colère et comment ne pas maudire ceux qui avaient réalisé ce reportage pour avoir blessé autant de gens de façon aussi inutile et inconsciente ?
Oui, mon lycée n'est pas un lieu élitiste. Oui, dans mon lycée, on trouve de tout : des élèves adorables et d'autres qui le sont nettement moins. Oui, dans mon lycée, le monde n'est pas rose tous les jours et, régulièrement, même avec l'expérience qui est la mienne, je dois me battre pour rester ce que je suis censée symboliser : un adulte cohérent représentant l'autorité. Oui, parfois, rarement il est vrai, à mon corps et à mon cœur défendant, je dois prendre sur moi et jongler avec l'inacceptable… Je n'en tire aucune fierté, juste la conscience de ma propre limite et l'inquiétude de la voir toujours repoussée jusqu'au moment où elle sera atteinte. Mais ce que je constate chaque jour me porte également : des professeurs investis dans la réussite de leurs élèves, à leur écoute quand il le faut, capables d'adapter leur attitude à la situation de chacun, se démenant pour les amener à progresser, pour créer une dynamique de réussite. Les élèves en sont bien conscients quand ils viennent vous remercier pour ce que vous leur offrez avec votre cœur et votre savoir.
Alors, comment accepter l'inacceptable quand tout ce travail est balayé sans vergogne pour un obscur reportage, manipulé, dépouillé de sa substance profonde, pour offrir non pas un regard honnête et argumenté, mais juste ce dont les journalistes avaient besoin : il leur fallait un côté sombre, ils ne l'avaient pas, alors ils l'ont créé sur nos fragilités, nos failles et nos incertitudes. Tant pis si, pour y parvenir, ils devaient mentir, déformer, tricher et se compromettre ! Tant pis si cet objectif incontournable signifiait écraser sans sourciller les autres, parents, élèves, enseignants, au passage ! Qu'importe si ces quelques minutes dénigrent la tâche de ceux qui se confrontent chaque jour à la difficulté ! Où êtes-vous donc, petits reporters sans scrupules, quand nous éduquons vos enfants, leur apportons leur meilleur de nous-mêmes ? Terrés, bien à l'abri de classes de trente-cinq élèves qui sont notre lot quotidien, votre utilité au final se résumerait-elle à faire basculer la vie d'autrui sans le moindre état d'âme ? Je vous maudis de détruire mon lieu de travail, sa crédibilité, sa valeur et la mienne avec ! Quelles excuses vous donnez-vous pour agir de façons aussi irresponsable et égoïste ? Quelle insensibilité est la vôtre ?
Alors, oui, je suis en colère ! Alors, oui, j'aurais envie de demander des comptes à ces êtres méprisables qui se vendent chaque jour à l'audimat quand mon combat journalier est d'accompagner mes élèves vers la réalisation de leur projet, pour qu'ils sortent grandis de leur passage dans ma classe, de gérer l'hétérogénéité d'un public pas obligatoirement acquis ni à ma matière, ni à ma cause, d'apprendre à surmonter les échecs ou les remises en question et de croire encore et toujours, même quand les médias s'en mêlent ! Mais non, je ne le ferai pas, car, pour se comprendre, il faut partager de belles valeurs communes et mes illusions à cet égard se sont déjà éteintes…
Le coup de gueule est terminé. Je vous souhaite une belle journée.

6 avrilCette semaine, ce sera carnaval tous les jours ! Dans la folie ambiante, à défaut de trouver un modèle pour représenter Aila, me voilà promue jeune fille de 17 ans, armée d'un kenda ! Je ne suis pas certaine que, même de loin, je fasse illusion. Mais bon, tant pis, c'était rigolo et j'ai joué le jeu ! Allez, je partage avec vous un cliché, juste pour rire !

Aila… ou pas !
Aila… ou pas !

Le soleil s'en est déjà allé… Quel dommage ! Mais je suis parvenue à capturer quelques images avant de le voir s'éclipser. Les premiers papillons ont fait leur apparition dans les jardins ou sur les berges de la Seine (Tircis, Piéride, Azuré) tandis que les arbres en fleurs égayent le paysage.

Bord de Seine
Bord de Seine

Bord de Seine
Bord de Seine

Demain la reprise pour beaucoup d'entre nous, alors, bon courage.

2 avrilRien à faire, le temps m'échappe et je le sens s'écouler entre mes doigts sans pouvoir le retenir… et dire que mon dernier blog date déjà de mercredi dernier ! Mille excuses pour vous avoir abandonnés, je reviens !
Hier, c'était carnaval au lycée, un 1er avril, il faut le faire ! Non, non, je vous jure, ce n'est pas une blague ! Le pire de l'histoire est que, l'an passé, je m'étais acheté en solde un déguisement que j'avais soigneusement rangé en attendant le prochain carnaval, tellement soigneusement que je l'ai perdu corps et biens, la tuile. En conclusion, persuadée que je finirai bien par le retrouver avant le carnaval de l'année prochaine, j'ai décidé de réinvestir dans un nouveau déguisement (en promotion cette fois !) J'ai passé ma commande trois semaines avant le carnaval, avec un petit coup de fil pour m'assurer que la livraison serait en temps et en heure. Coup de sonnette du facteur, youpi ! Ouverture du carton avec précipitation pour découvrir la totale pour Astérix (gourde, gobelet, glaive et casque) taille minimoy, plus le nécessaire pour combattant de l'extrême (fusil à effets sonore et lumineux, bandeau et maquillage US army) ! Glup… Petit moment de flottement avant de se précipiter sur le téléphone et d'espérer une correction immédiate de cette erreur de livraison. Mais non. Décidément, je suis maudite cette année… Alors, je suis passée au plan B. Lors des soldes de l'an passé (encore !), j'étais tombée sur une belle robe de bal de couleur automnale, pas tout à fait de celle dont on rêve quand on est petite fille, mais pas loin, une robe pour une princesse qui a quitté l'âge tendre depuis longtemps… Mon petit cœur et mon âme de midinette n'avaient pas résisté à la tentation et, pour quarante euros, s'étaient offert la robe rêvée… Ne vous moquez pas comme ça, une fois de temps en temps, ça fait plaisir de se laisser emporter par des plaisirs oubliés ! Petite discussion avec mon adorable voisin qui me propose une perruque pour accentuer le côté déguisement (faut dire, une robe de bal n'est pas vraiment un déguisement…) Et hop ! Je serai une actrice, cheveux courts et roux, sur le point de recevoir un oscar (j'aurais pu tenter l'oscar de la meilleure prof, mais je n'ai pas osé !) Voici quelques images :

Lâcher de ballons au lycée
Lâcher de ballons au lycée

Envol des ballons dans la cour d'Évariste Galois
Envol des ballons dans la cour d'Évariste Galois

De nouveau, la semaine arrive à son apogée, alors direction : le week-end ! Bonne journée.




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